Aux côtés du Stade Niçois Rugby depuis 3 saisons, le magasin Super U Nice Caucade a décidé de parrainer la rencontre face au Biarritz Olympique. Clément Bourassin, propriétaire et gérant du magasin revient avec nous sur le lien qui relie sa société et le Stade Niçois.
- Pouvez-vous vous présenter et nous parler de vos activités ?
Je suis Clément Bourassin, propriétaire exploitant de 3 magasins U dans le département des Alpes-Maritimes. Nous sommes une entreprise familiale implantée depuis plus de 20 ans sur le territoire azuréen : Beaulieu-sur-Mer, Grasse Plascassier et Nice Caucade. Le dernier, qui ouvrira ses portes à la rentrée dans le quartier ouest de Nice et proposera également une offre essentiellement alimentaire avec une tarification discount. Nous mettons un point d’honneur à maintenir un commerce à visage humain, une offre locale très forte, en privilégiant la proximité avec nos clients, fournisseurs et collaborateurs. Si vous souhaitez, faire partie de l’aventure, rejoignez-nous ! Retrouvez toutes nos offres sur uemploi.com.
Suivra en 2026, l’ouverture d’un magasin de bricolage Weldom, en lieu et place du U Express Nice Sainte-Marguerite.
- Que représente le Stade Niçois pour vous ?
Tout simplement des valeurs fortes que nous partageons : l’esprit d’équipe, l’ambition et bien entendu le respect.
- Parrainer cette rencontre signifie quoi pour vous ?
Lorsque nous avons décidé de parrainer ce match, la saison n’avait pas encore commencé mais il était évident qu’il s’agirait d’une belle affiche avec des enjeux pour les deux équipes.
- Un mot sur cette saison et un petit pronostic pour la rencontre de vendredi ?
Cette montée en Pro D2 a permis de rappeler que Nice peut être une véritable ville de rugby à l’échelle nationale. Même si cet essai pourrait ne pas être transformé cette saison, tout reste possible et la détermination des équipes est un atout majeur pour les ambitions futures du club. Quant au match contre Biarritz, il est difficile de se prononcer, mais je suis confiant : un grand spectacle se profile et j’y crois !
Issa Nissa !